Publiée le 26/05/2025
Les fonds de Private Equity dégagent historiquement des rendements supérieurs à la Bourse. Mais ils se distinguent aussi par leur complexité, l’importance du montant investi (100 000 euros minimum) et les écarts de performance entre les meilleurs produits et les autres. De plus, l’information sur ces performances est difficile à trouver. Mieux vaut se lancer dans l’aventure avec un cabinet expert du sujet, plutôt que seul.
1. L’accès à une expertise de haut vol
Rappelons le principe d’un fonds de Private Equity. Il est créé par une société de gestion, qui collecte l’épargne des investisseurs et prend des participations dans plusieurs dizaines d’entreprises choisies pour leur fort potentiel de croissance.
Un cabinet expert comme Alpes Private Equity ne collabore qu’avec des sociétés de gestion titulaires d’un agrément de l’Autorité des marchés financiers (AMF). Mais il faut souligner que cet agrément n’est pas obligatoire.
Pendant 5 à 7 ans, la société de gestion aide ces sociétés à grandir et à augmenter leur rentabilité. Puis elle revend ses participations, avec un objectif de plus-value maximale : celle-ci constitue le gain de l’épargnant.
Celui-ci doit s’engager à placer au minimum 100 000 euros, bloqués pour dix ans : prises de participations et reventes s’étalent sur plusieurs années, afin de saisir les opportunités au meilleur moment sans être contraint par un calendrier strict.
Les fonds de Private Equity n’ont pas de cours officiel comme les titres cotés en Bourse : impossible de se baser sur leur trajectoire passée pour juger de leur valeur. On investit, et on fait les comptes à la fin.
Pour un novice, c’est un pari très risqué. Pas pour un cabinet expert qui sait que la qualité des fonds dépend de celle de la société de gestion, qui a accès aux bonnes informations et maîtrise leur analyse : quel est l’historique de performances de cette société de gestion ? Que valent ses stratégies d’investissement ? Quels secteurs industriels connaît-elle le mieux ? Le mode de rémunération de ses gérants de fonds est-il cohérent et motivant ? Comment communique-t-elle sur les entreprises de ses fonds ?
2. Du temps gagné et des erreurs évitées
Ce travail d’évaluation prend du temps et doit être refait régulièrement. De plus, il doit être détaillé : même dans une société de gestion d’excellente réputation, il faut s’assurer pour chaque fonds sélectionné que son équipe de gérants tient la route.
« Certaines sociétés de gestion totalisent plus de 100 milliards d’actifs, comptent 1000 collaborateurs voire davantage et pilotent des dizaines de fonds, complète Arnaud Crespel, d’Alpes Private Equity. Pour chaque fonds que nous retenons, nous vérifions par exemple si l’équipe de gestion connaît ou non du turnover. Pourquoi ? Parce que l’expérience montre que souvent, les équipes les plus performantes sont aussi les plus stables. »
Quel particulier aurait le temps et l’envie de faire ce travail ? Où trouverait-il ces informations ? Saurait-il les interpréter correctement ? Exemple : un novice sera tenté de bannir les fonds qui prélèvent des frais d’entrée élevés. Mais l’expert sait que des frais d’entrée modestes ne garantissent pas de bonnes performances. Celles-ci dépendent de bien d’autres critères, et l’économie initiale sur les frais peut coûter cher en points de rendement perdus au terme des dix ans.
3. Minimiser les risques d’un mauvais choix
Un placement en Private Equity comporte un risque de perte en capital, si la société de gestion se trompe dans la sélection des entreprises où elle investit : l’épargnant récupère moins que sa mise initiale !
Là encore, choisir le bon cheval implique d’identifier les meilleures sociétés de gestion et dans ces sociétés, les meilleures équipes. C’est la force des cabinets experts.
Autre piège : rêver de faire fortune grâce aux fonds de capital-risque, qui misent sur de très jeunes sociétés promises à un bel avenir. « Tout le monde connaît Apple, née dans un garage, qui vaut aujourd’hui 3 800 milliards de dollars, illustre Arnaud Crespel. Mais pour ce succès éclatant, combien de faillites dont personne ne parle ? On peut subir de lourdes pertes avec les fonds de capital-risque. Nous les déconseillons notamment aux épargnants qui au terme des dix ans, utiliseront leur épargne pour financer les études des enfants ou leur retraite. »
4. Profiter d’un réseau privilégié
Sauf à pouvoir investir au moins un millions d’euros, un particulier qui s’adresse à une société de gestion en direct trouvera porte close : il sera redirigé vers les cabinets experts comme Alpes Private Equity, qui eux, entretiennent des liens privilégiés avec les sociétés de gestion. « Quand nous demandons des précisions sur un fonds, une équipe ou un nouveau gérant, nous savons qui appeler et on nous répond rapidement ».
Ces liens entretenus sur la durée donnent au cabinet expert une excellente visibilité sur l’univers des sociétés de gestion et sur ses « champions ».
5. Faire des choix cohérents avec ses objectifs personnels
En gestion de patrimoine, ce sont les objectifs du client qui guident le choix de ses placements. Et non l’inverse ! C’est encore plus vrai lorsqu’il s’agit d’investir en Private Equity, où l’épargne est bloquée dix ans : les erreurs éventuelles sont longues à rattraper.
Aussi, le cabinet expert interroge toujours son client sur ses motivations. Veut-il préparer sa retraite ? Faire fructifier un capital pour le transmettre à ses enfants ? Réinvestir après la vente de son entreprise ? Diversifier ses actifs s’ils sont tous placés dans la Pierre ou en Bourse ?
« Il y a deux expertises autour de cette démarche, décrit Arnaud Crespel. D’abord, approfondir ce questionnement jusqu’à hiérarchiser clairement les priorités, ce que le client a parfois du mal à opérer seul. Ensuite, définir le fonds de Private Equity le plus adapté à chaque profil et chaque objectif. Ou si notre client place un capital important, trouver une allocation judicieuse entre plusieurs fonds pour répartir les risques. »
6. Maximiser ses gains
On ne connaît le rendement d’un fonds de Private Equity qu’après dix ans, quand les participations ont été revendues. Et il n’est pas possible de céder ses parts en cours de route. C’est au début qu’il faut faire le bon choix, avec l’appui d’un cabinet expert ; il est le mieux placé pour orienter les épargnants vers les meilleurs fonds et leur éviter les moins bons.
En 2023, l’association France Invest a publié à ce sujet une étude* éloquente. Elle s’est penchée sur plusieurs milliers de fonds français lancés depuis 1987. Les écarts de résultats sont stupéfiants.
En moyenne, les 25% de fonds les plus performants ont plus que doublé la mise : 240 000 euros (avant impôts) de gains pour 100 000 euros investis.
En moyenne, les 25 % les moins bons ont perdu 20 % en dix ans. Soit 80 000 euros perçus pour 100 000 euros investis : trois fois moins !
Pour faire partie de la première catégorie, passez par un cabinet expert.
* « Performance nette des acteurs français du capital investissement » publiée en juillet 2023 par France Invest

Pourquoi nous contacter ?
Bénéficiez d’un rendez-vous sur-mesure, optimisez vos investissements et investissez avec succès